Jésus-Christ, l'homme souffrant
- Meditons Ensemble
- 11 avr.
- 2 min de lecture
Vendredi 11 Avril 2025
Thème: «Jésus-Christ, l'homme souffrant».
Texte: Matthieu 27:26-31
26. Alors Pilate leur relâcha Barabbas; et, après avoir fait battre de verges Jésus, il le livra pour être crucifié. 27. Les soldats du gouverneur conduisirent Jésus dans le prétoire, et ils assemblèrent autour de lui toute la cohorte. 28. Ils lui ôtèrent ses vêtements, et le couvrirent d'un manteau écarlate. 29. Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant: Salut, roi des Juifs! 30. Et ils crachaient contre lui, prenaient le roseau, et frappaient sur sa tête. 31. Après s'être ainsi moqués de lui, ils lui ôtèrent le manteau, lui remirent ses vêtements, et l'emmenèrent pour le crucifier.
Retenons:
Jésus-Christ, est l'homme souffrant car Il a subi toute sorte de souffrance et d’humiliation. Il a vu comment on a libéré un assassin à son détriment. Il a été battu de verges comme pour le faire subir une intense souffrance avant la crucifixion. Tout est fait pour augmenter sa souffrance. Même en le conduisant dans le prétoire, entre autres, ils voulaient intensifier sa souffrance en le stressant à l’excès. Les soldats s’assemblèrent autour de Jésus pour l’apeurer et l’intimider. Ensuite, ils ôtèrent ses vêtements pour ajouter à sa souffrance physique, une souffrance émotionnelle, mentale mais aussi psychologique. Il ya un âge où rester nu devant les gens qui rient de toi, n’est pas supportable; c’est très humiliant et souffrant. Surtout quand on est innocent et incapable de dire un mot, c’est une souffrance énorme. Jésus s’appelle aussi l’Eternel des armées; mais Il se laisse malmener par des soldats, juste par obligation de réserve car sa mission n’était pas de riposter mais d’arriver jusqu’à la croix par obéissance. Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant: Salut, roi des Juifs! La couronne d’épines a blessé sa tête et le sang giclait. C’est encore l’objet de graves souffrances qui s’échelonnent dans la durée. Loin d’être une courte séquence, c’est plusieurs heures d’affilées de souffrances. Ils crachaient contre lui, prenaient le roseau, et frappaient sur sa tête. Encore et toujours la souffrance infligée au sauveur de l’humanité qui payait le prix de notre bonheur. Après s'être ainsi moqués de lui, ils l'emmenèrent pour le crucifier. Excellent vendredi et bonne entrée en week-end. Amen.
Alain Louz.-
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