Mercredi 23 Mars 2022
Thème : «Dieu et nos biens»
Texte : Actes 16:11-15
11. Étant partis de Troas, nous fîmes voile directement vers la Samothrace, et le lendemain nous débarquâmes à Néapolis. 12. De là nous allâmes à Philippes, qui est la première ville d'un district de Macédoine, et une colonie. Nous passâmes quelques jours dans cette ville. 13. Le jour du sabbat, nous nous rendîmes, hors de la porte, vers une rivière, où nous pensions que se trouvait un lieu de prière. Nous nous assîmes, et nous parlâmes aux femmes qui étaient réunies. 14. L'une d'elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le coeur, pour qu'elle fût attentive à ce que disait Paul. 15. Lorsqu'elle eut été baptisée, avec sa famille, elle nous fit cette demande: Si vous me jugez fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison, et demeurez-y. Et elle nous pressa par ses instances.
Retenons :
Dans son livre «La marchande de pourpre» parut chez Fides, l’auteur Guy Bonneau écrit au sujet de Lydie dont parle Actes 16:14 qu’elle était «Fortement ébranlée par la mort de Jésus et de son époux Judas, Susanne est obligée de fuir pour échapper aux autorités juives et romaines qui la recherchent. C'est dans la ville de Thyatire qu'elle s'établira pour commencer une nouvelle vie comme marchande de pourpre, sous le nom de Lydie». Malgré les angoisses, elle ne fuit pas l’œuvre de Dieu au contraire elle s’accroche à Dieu et à ses serviteurs. Dieu lui fit grâce et ouvrit son cœur à l’écoute profonde de sa Parole. Quand Dieu touche le cœur d’une personne, son logiciel mental change, car le cœur est le siège moral des affections. Lydie pouvait offrir son hospitalité aux serviteurs de Dieu. Autrefois, c’est elle qui allait vers Jésus avec du parfum, cette fois c’est elle qui reçoit dans sa maison les envoyés de Dieu pour prendre soin d’eux. Elle fut la seule femme qui mit ses biens à la disposition des ouvriers de Dieu. Et, elle le fit avec pression. Excellent mercredi. Amen Alain Louz.-
Commentaires